L'arnaqueur de l'année.
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Ce n'est pas la 1ère fois que cet individu toujours souriant, de type caucasien, de taille moyenne, aux cheveux grisonnants, sévit sur les événements percherons. C'est sur le concours de Saint-Lunaire en Ille-et-Vilaine qu'on l'a aperçu pour la dernière fois. Il tentait de vendre à la sauvette des fripes à des jeunes femmes trop naïves, sans doute séduites par les couleurs aguichantes de ces chemises de mauvaise qualité. Heureusement, Alexis, en charge de l'événement, a immédiatement appelé la police pour mettre fin aux agissements de l'énergumène.
La sportive de l'année.
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Du haut de ses 11 ans, Rebecca est l'une des pièces maîtresses de la troupe australienne de voltige Kamilaroi, que nous avons pu voir au Mondial.
Les militants de l'année.
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Une élection en perspective ? Dominique Heuzé et Bernard Choplain n'attendent pas l'ouverture officielle de la campagne pour coller des affiches et pour rendre visite aux maires de la région, comme celui d'Alençon par exemple.
Les grosses têtes de l'année.
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Le 1er jour du Mondial, le vendredi, Marion Lhôte et Jean-Marie Baradeau se sont isolés, à l'écart du public. Il leur a fallu un très long moment pour arriver à comprendre le mécanisme... des achats aidés d'étalons. Mais ils y sont arrivés. Ils sont presque les seuls...
Le crotté de l'année.
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Antoine, le réglement précise : "Tenue blanche pour les concours " !
La maraîchère de l'année.
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La crise n'en finit pas de faire des victimes. Sandra, la propriétaire d'un château à vendre en Basse-Normandie, en est réduite avec l'aide de son fidèle jardinier Jean-François à planter des pommes de terre à la main sur la terrasse autrefois fleurie de ce qui fut dans le passé sa belle demeure.
La superstitieuse de l'année.
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Pour cet heureux événement, la course de percherons montés de Mondoubleau, Catherine, superstitieuse, était ravie de porter le dossard 13. La prochaine fois, il lui faudra pourtant trouver autre chose pour gagner !
La dèche de l'année.
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Autre victime de la crise, Jean-Yves, maréchal-ferrant sarthois réduit à travailler en plein hiver avec des gants troués. A moins que ça ne soit à force de se donner des coups de marteau sur les doigts ?
Le sensible de l'année.
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Jérôme a un gros coeur. Un gros coeur sensible. Il ne supporte pas l'idée de fatiguer son cheval. C'est pourquoi il pratique une forme d'équitation un peu particulière qui consiste à marcher à côté de sa monture. On le verra peut-être un jour porter son cheval. Un grand coup de chapeau à Jérôme qui, dans ce palmarès annuel, rafle 3 prix : danger, tricheur et sensible de l'année. Un palmarès qui nous prouve les nombreuses facettes de ce pilier de la race percheronne.
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