"Regarder, regarder encore, regarder toujours, c'est ainsi seulement qu'on arrive à voir."
Jean-Martin Charcot
dimanche 13 octobre 2013
Pensée Dominicale
1 commentaire:
Brigitte Guillaume
a dit…
Cette citation est d'origine Maya. En effet, il faut revenir aux prémices de cette même culture, pour trouver un début d'explication rationnelle fondée sur une logique implacable,dans un raisonnement cartésien d'application cohérente et méthodique ( Quoi ! Qu'est-ce qu'elle dit ? ). A cette époque, le langage était particulièrement châtié. Les termes impolis comme " grande gueule " étaient bannis du vocabulaire et passibles d'une peine. Comme toujours en pareille circonstance, une autre expression a été réinventée pour braver l'interdit. D'une manière plus élégante, les cavités buccales qui n'avaient pas leur langue dans leur poche sont devenues " les fines bouches sont parfois de mauvaises langues ". Rien à voir ici avec une quelconque langue pâteuse à l'haleine fétide. Ces considérations bucco-dentaire ont fait des émules. A la tête d'émules, nous retrouvons un certain nombre de râleurs impénitents, de mécontents notoires, de grognards invétérés et de protestataires en tout genre. Aujourd'hui, il existe plus de soixante-dix langues Maya, ce qui multiplie par autant le nombre de tournures de phrases et de formules à retenir. Toutes ces langues sont polysynthétiques ( sans coton ), elles possèdent donc des mots très longs. C'est pourquoi ceux qui les utilisent, choisissent souvent de donner leur langue au chat ou préfèrent, pour simplifier les choses, utiliser des gestuelles évocatrices face aux enquiquineurs. Comme vous pouvez le constater, l'origine d'une citation a toujours une histoire. Ces histoires ont été rapportées de par le monde par Christophe Colomb, Vasco de Gama et plus proche de nous par Dora l'exploratrice. Alors sachons à notre tour les faire partager...
1 commentaire:
Cette citation est d'origine Maya.
En effet, il faut revenir aux prémices de cette même culture, pour trouver un début d'explication rationnelle fondée sur une logique implacable,dans un raisonnement cartésien d'application cohérente et méthodique ( Quoi ! Qu'est-ce qu'elle dit ? ).
A cette époque, le langage était particulièrement châtié. Les termes impolis comme " grande gueule " étaient bannis du vocabulaire et passibles d'une peine. Comme toujours en pareille circonstance, une autre expression a été réinventée pour braver l'interdit. D'une manière plus élégante, les cavités buccales qui n'avaient pas leur langue dans leur poche sont devenues " les fines bouches sont parfois de mauvaises langues ".
Rien à voir ici avec une quelconque langue pâteuse à l'haleine fétide.
Ces considérations bucco-dentaire ont fait des émules. A la tête d'émules, nous retrouvons un certain nombre de râleurs impénitents, de mécontents notoires, de grognards invétérés et de protestataires en tout genre.
Aujourd'hui, il existe plus de soixante-dix langues Maya, ce qui multiplie par autant le nombre de tournures de phrases et de formules à retenir. Toutes ces langues sont polysynthétiques ( sans coton ), elles possèdent donc des mots très longs. C'est pourquoi ceux qui les utilisent, choisissent souvent de donner leur langue au chat ou préfèrent, pour simplifier les choses, utiliser des gestuelles évocatrices face aux enquiquineurs.
Comme vous pouvez le constater, l'origine d'une citation a toujours une histoire.
Ces histoires ont été rapportées de par le monde par Christophe Colomb, Vasco de Gama et plus proche de nous par Dora l'exploratrice.
Alors sachons à notre tour les faire partager...
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