dimanche 6 avril 2014

Pensée Dominicale



4 commentaires:

Brigitte Guillaume a dit…

Que demande le peuple ?
Un remaniement ministériel n'est jamais quelque chose d'anodin...
Tout commence toujours par un coup de fil en catimini et se termine sur le perron d'un grand hôtel.
D'un côté on enfile une nouvelle casquette et de l'autre on porte déjà le chapeau.
Mais ne vous fiez pas aux apparences. Dès que l'ancien, tout chamboulé par les applaudissements, franchit le porche de Matignon... avec ses cartons sous le bras, son chauffeur dans le coffre et sa femme au volant...le nouveau range très vite sa bonhomie et après avoir serré des mains, il se met à serrer les fesses !
Les journalistes sont encore là quand un petit pet nerveux retentit à la face du monde..."vais-je être à la hauteur ?"
Il va falloir trouver en un temps record, assez de souffre-douleur capables de lui manger dans la main sans lui bouffer les doigts...
L'ancien premier ministre est déjà loin que le nouveau se cogne encore la tête contre les murs...et ce n'est qu'un début !
Les anciens ministres vont même en rajouter une couche, "avoir un ministère sans changer de cap, c'est avoir un couteau sans lame".
Mais attention !
Avoir un couteau sans lame, ne veut pas forcément dire, gouverner comme un manche...

Brigitte Guillaume a dit…

Hé alors, monsieur Michel, pourquoi ce silence depuis quelque temps ?
Je me sens bien seule le dimanche en ce moment...Nous vous attendons tous avec impatience...A bientôt donc !

Anonyme a dit…

Michel Dambon
Pourquoi ce silence!
Suite à mon virus qui se réveille de temps en temps, j'ai du partir en cure quelques jours, peut-être nous nous sommes croisés, mais nous ne nous connaissons que virtuellement.
Comme chaque année à cette époque, depuis quelques années, j'ai mon pèlerinage en Bretagne, plus précisément au Haras National de Hennebont pour la parade des étalons bretons.
Avec une visite des plages Normandes du débarquement, pour fouler les traces de nos courageux poilus.
Beaucoup de recueillement et de sérénité à chaque mémorial.
Et puis le calendrier en a voulu ainsi,et comme le bonheur fait bien les choses, portes ouvertes au Haras du Pin,que je ne connaissais pas.
De retour en Dordogne depuis lundi mon virus c'est un peu calmé,il a fallu vite chevaucher la tondeuse à gazon.
Le périple s'effectue en camping-car et il m'est difficile de communiquer.
J'ai de très belles photos si Mr J.L Dugast veut faire un reportage.
A très bientôt.

Brigitte Guillaume a dit…

Tiens donc ! Il devait y avoir des courants d'air aux portes ouvertes du Haras du Pin...car j'y étais aussi ! Peut-être nous sommes nous croisés sans le savoir...Amusant, non ?